Tahira Quliyeva

cœur qui pleure communication avec le cœur (2025)

40x30 cm ~ Peinture, Huile


71 353 € Livraison vers France incluse
Acheter sur ArtMajeur

Faites une offre!

Mon cœur, tu pleures à nouveau et tu m'empêches de dormir. Depuis presque un an, tu pleures si fort, ton bruit résonne dans mes oreilles. Tu dis : « Aide-moi, je ne peux pas frapper. Je suis malade. » Tu me dis que tu me tourmentes trop. Toi-même, tu ne m'as pas laissé dormir la nuit. Aide-moi, j'ai envie de frapper encore un peu. S'il te plaît, arrête ce bruit, il m'empêche de dormir. Je suis désolé de t'avoir trop tourmenté et de ne pas t'avoir protégé. Et maintenant, tu t'es vengé de moi, je n'arrive pas à dormir, ni la nuit ni le jour, ton cri résonne dans mes oreilles toute la journée. Arrête de pleurer, tout ira bien. Ne t'inquiète pas. Je ne m'arrêterai pas, ma blessure me fait mal. Tu m'as laissé souffrir tant. S'il te plaît, arrête de pleurer. Frappe un peu. Ne fais pas ça pour moi. Je ne le mérite pas, fais-le pour vos deux cœurs. S'il te plaît, ne me tourmente pas, je te promets de te protéger. Je te promets de ne laisser personne t'humilier ou te blesser. Je dois vivre pour Deux Cœurs. Pardonne-moi, mon cœur miséricordieux et aimant. La jambe a marché, l'œil a vu, le cœur a aimé et souffert. À qui la faute, à la jambe et aux yeux ? Et à l'esprit. Mon cœur, tu as trois ennemis : l'esprit, les yeux et les jambes. Mon cœur, tu pleures à nouveau et tu m'empêches de dormir. Je te le promets, est-ce que je te ferme comme un livre qui ne s'ouvre pas ? Je te le promets. Je te donne ma parole que je ne laisserai personne te blesser ou t'offenser. Je te couvre et te cache de tous. Tu sais que si je te fais une promesse, je la tiendrai toujours, quoi qu'il arrive. Je te promets que je ne laisserai personne t'humilier. Bey, vis pour Deux Cœurs. Je te promets que je fermerai les yeux pour ne pas voir, je fermerai l'esprit pour ne pas penser. Je me briserai les jambes pour ne plus pouvoir marcher. Je le ferai, je te le promets. Depuis presque un an, tu pleures si fort, ton bruit résonne dans mes oreilles. Vous dites : « Aidez-moi, je ne peux pas frapper. Je suis malade. » Pardonne-moi de ne pas t'avoir protégé, pensant que tu es une pierre de fer, que tu peux endurer. J'avais oublié que tu étais un morceau de viande faible. Auter Tahira Qavrayilova

Ajouté le

Disponible en fichiers numériques à partir de 36 €

Acheter une licence

 

Créé avec Artmajeur