60x50 cm ~ Peinture, Huile
Ma mer gelée m'apporte la mort blanche. Mets un terme à ma vie brisée. Je ne t'échappe pas. Arrêtez de poursuivre ceux qui vous fuient. Je suis là, mais je ne m'enfuis pas. Est-ce que je ne t'intéresse pas ? Viens et mets fin à l'enfer en moi. Ai-je peur de me cacher, de fuir loin de toi ? Mort Combien de fois ai-je regardé dans tes yeux blancs et froids. Est-ce que je me suis déjà perdu ? Votre royaume est dans un sommeil profond. Là, les esclaves trouvent la liberté. Il n’y a pas de riches ou de pauvres là-bas. Il n'y a ni enfer ni paradis. C'est un mensonge. L'enfer et le paradis sont en nous. Il n'y a pas de nationalité, de fierté, de cruauté. douleur et souffrance Il n’y a là ni envie ni ennemis. Là, tu dors seulement, tu ne ressens rien. La mort m'étreint plus étroitement avec un sommeil blanc. Je veux être libre de mes pensées, de mes sentiments, de tout le monde. Je suis si fatigué. Royaume d'esclaves, je ne veux pas vivre. J'ai envie de dormir, d'un sommeil profond et blanc. M'as-Royaume d'esclaves, je ne veux pas vivre. tu déjà serré dans tes bras ? la mort plus forte plus forte, serre-moi dans tes bras, ne me laisse pas partir dans ce monde froid Eh bien, mon père m'a réveillé. Et maintenant il dort d'un sommeil clair. Père, si tu voyais ma souffrance, voudrais-tu me réveiller ? Et je suis resté dans le monde noir. Je veux aussi te réveiller. Je suis resté tout seul sans toi. Lève-toi, tiens ma main dans ce monde noir, allons-y ensemble. Ici, de nombreux esclaves se retrouvèrent avec peu de liberté. Je ne veux pas vivre parmi les esclaves. J'ai été laissé au milieu de la route. la boussole de la vie est brisée Il ne montrera plus le chemin. Je voudrais aller plus loin, mais le pont s'est cassé au milieu de la nuit. Royaume d'esclaves, je ne veux pas vivre. Nous devons valoriser ceux que nous aimons, car la mort est toujours proche. Nous devons saisir notre temps. Parce que nous donnons notre vie éphémère à quelqu'un. pour le papier qui brûle vite Nous travaillons jour et nuit. Nous volons du temps à nos enfants et donnons du papier à ceux que nous aimons. Nous avons volé notre vie, nous donnons du papier. Le papier brûle vite, mais nous ne pouvons pas le rendre dans notre vie. auteur TAHIRA QAVRAILOVA
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